Actions et obligations sont deux termes qui proviennent d’un même jargon ; De ce fait, de nombreuses personnes n’arrivent pas à faire la part des choses. Dans cet article, vous verrez la différence qui existe entre actions et obligations.
Les obligations : que faut-il savoir
Les obligations sont des produits financiers que vous pourrez acquérir dans l’optique d’accroitre votre fortune. Vous pouvez visiter ce site ici même pour plus d’informations. Elles ne sont pas aussi connues que les actions. Entre les actions et les obligations, il existe une nette différence. Quand on dit acheter des obligations, c’est prêter de l’argent à une structure qui s’en est servi pour financer sa dette ou son projet.
Une obligation peut donc être appelée un titre de créance. C'est-à-dire que l’émetteur vous doit un montant donné. En contrepartie de votre prêt, l’organisme en question vous verse un taux d’intérêt, et ceci, souvent par le biais d’un coupon. Cette intitulée était née à l’époque où les titres financiers étaient édités sur du papier et suivis de coupons dont l’on se servait pour décrocher ses intérêts.
En effet, nous n’allons pas quantifier l’avantage d’une obligation en termes de rentabilité. Elle s’étend bien au-delà de cela. En termes de risques, elle présente également assez d’avantages. Étant donné que c’est un prêt que vous avez accordé à l’entreprise, celle-ci a la stricte responsabilité de vous rembourser votre argent, qu’elle ait fait des bénéfices ou non. Les obligations présentent donc moins de risques que les actions.
Les actions : que faut-il retenir
Contrairement aux obligations, l’achat d’une action dans une entreprise revient à ce que vous payez une part du capital de cette entreprise. Une action peut ainsi être définie comme un titre de propriété. En compensation de votre investissement, l’entreprise en question vous verse une partie de ses bénéfices, très souvent, sur l’échelle annuelle. Et ceci par le biais d’un gain par action. Retenez que ce revenu n’est pas fixe. Cela dépend aussi des lois régissant le remboursement des dividendes de l’entreprise.